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Clarissa Rivière
9 juin 2016

Cher XIXème...

 

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    Hasard des calendriers des éditeurs, conjonction favorable des planètes, etc… deux publications devraient voir le jour avant l’été dans la Collection Paulette et aux Editions Dominique Leroy.   

    Des histoires crées indépendamment les unes des autres, à des moments complètement différents, et qui pourtant comportent des ressemblances troublantes, outre leur sortie simultannée (en espérant que ce ne soit pas la seule chose qui vous trouble en les lisant ;-) ) :

        * Elles sont écrites en duo avec des amis de plume – des amis dans la vie aussi ! -, j’ai nommé Julie Derussy et Vagant 

        * Elles concernent toutes les deux la fin du XIXème siècle, chère à mon cœur depuis la découverte des auteurs classiques, Zola, Maupassant, Balzac et tant d’autres, il y a fort longtemps déjà… Sans idéaliser ce siècle dont je renie les inégalités et les abus de pouvoir, ne me faites pas de mauvais procès ;-) je suis fascinée par la liberté de ses mœurs – les maisons closes avaient pignon sur rue et étaient florissantes - ; son dynamisme industriel et commercial – mais à quel prix - ; son rigorisme apparent - l'Église occupait encore une place centrale, dans l’éducation notamment – …

    Une fin de siècle foisonnante, débordante, galopant vers la modernité, et d’un esthétisme inégalé. (Ah les tenues des femmes !), marquant le début de la bien-nommée Belle Époque (enfin, pour certains) avant que tout ne soit englouti par la première guerre mondiale.

    * Elles mettent en scène des jeunes filles, fausses ingénues, se retrouvant jetées brusquement dans un monde inconnu, brutal ; elles devront jouer des coudes - entre autres - pour s'adapter et se faire une place au soleil... (La jeune fille, un de mes archétype préféré !)

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    Les ressemblances s’arrêtent là, puisque dans la première publication il s’agit d’un recueil de trois nouvelles dont deux se déroulent dans l’univers sulfureux des maisons closes ; et dans la seconde, d’une novella au sein du monde chatoyant de la mode...

    Il me tarde de pouvoir vous en dire plus, vous montrer les couvertures, vous lire des extraits…

 

Photo du bougeoir : Olivier Parent

 

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